Sacré train qui part à l’heure, tu es de l’autre côté
Plus j’avance vers toi, plus tu pars loin de moi
Ce maudit train qui t’emmène je ne sais où, ma beauté
Mon cœur amoureux saigne de ne plus voir ton minois
Mémoire immortelle, je me souviens de ton regard
Tes yeux si bleus azur, tes cheveux châtains
Je ne voyais que toi, un peu distrait, un peu hagard
Tu m’as regardé avec un joli sourire, je suis comme un gamin
Dans cette immense gare, tu étais là, je t’aimais déjà
Je m’enivre de toi mon inconnue, si merveilleuse Athéna
Je soupire de peur ne plus te croiser à Matabiau ou à Austerlitz
Dans ma tête joue une douce musique de Liszt
Même le soleil est jaloux de ta beauté mon amour
Je ne pense qu’à toi, les secondes qui passent sont des futurs
Tu es comme la Lune qui aime la nuit de velours.
Comment faire pour te retrouver au milieu des voyageurs en villégiatures
Mon chéri, j’ai croisé tes yeux gorgés de soleil, j’ai loupé mon train
Je te vois, tu te prépares à monter dans le wagon transbordeur
Tu as plein de douceurs pour moi et plein d’entrain
Que m’arrive-t-il mon corps frissonne, mes jambes sont en lourdeur
Attends-moi mon bel amour, je suis là, je suis derrière toi
Tu me donneras du bonheur mon chéri jusqu’à la fin de nos jours
Mon amour, je suis maintenant dans tes bras amour
Tu es mon présent et mon avenir, mes membres frémissement d’émoi
Je t’aime mon chéri ! Je t’aime ma chérie !
Poème original de Jean Olmini
Tous droits réservés .
Poème original de Jean Olmini
Tous droits réservés .
Une amie imaginaire.
Framboise,
Tel est le prénom de mon amie
Elle donnerait son cœur pour sauver des vies.
Framboise a pris des sentiments un peu ici, un peu par là
Elle a une telle persévérance, dans son cœur une odeur de lilas.
Framboise m’a étonné une fois, sans rien dire immédiatement
Car elle savait que cela allait me combler.
Elle m’a fait découvrir des mots intelligents, mais différemment.
Des mots nobles, presque aristocrate sans métaphore.
Où les mots vivants sont bien plus forts
Framboise est une femme Compatissante
Une femme, d’une haute tempérance
Très appliquée dans sa tour impertinente
Elle m’a fait confiance, elle a usé mon espérance.
Framboise à l’espoir de rencontrer un jour l’amour
De ses mots que personnes ne comprend
Écrire une histoire, jouer en calembour
En file indienne sans que les aiguilles sortent du cadran
Framboise à un sentiment profond, d’une vie
D’écriture, sans attendre que le verbe
Se marier avec d’autres mots en sursis
De ne voir que l’absurde en exergue
Poème original de Jean Olmini
Le 29 novembre 2016.
Ma douce fleur, mon orgueil !
Ma douce, couvrir ta bouche de baisers.
Mon souhait le plus cher, je voudrais éteindre le feu
Qui est en moi en ce moment, je brûle, je suis hypnotisé.
Le soleil est jaloux, de ce corps ardent qui brille dans les cieux.
Depuis que je t’ai vu, je suis ébloui par l’éclair.
Je te regarde sans te voir, tu es dans l’air.
De ton corps, mes yeux se sont voilés d’un mirage.
Flotter comme un nuage, ta douce image.
Je souhaite te connaître ardemment exquise, fouiller ce joli corps.
Y poser ma langue, humer toute la saveur de cette toison d’or
Embrasser tes seins si doux, mettre ma tête dans le triangle des Bermudes
Nous évader au loin de l’immensité de l’amour en extase de béatitude
Le jour, tout éveillé, je songe à toi ma douce
Cette image, la tienne, apparaît ta jolie frimousse
Comme un feu follet qui se lève, j’ai envie de toi
Au plus profond de mon âme et de mon rêve, je te bois.
Quand tu ris, des petits cœurs se dessinent sur ta bouche.
Ma délicieuse fleur, j’ai l’esprit chaviré de t’aimer ma douce
L’amour s’épanouit, tu es mon amour sans détour…
Mon souhait est de prendre sur mes genoux et être ton troubadour.
Je devine la saveur de ce corps qui sent le sable chaud du Sahara.
Mon imaginaire, ma muse, je te rêve quand je suis avec toi à Bora-Bora
Juvénile amour, la grâce veut éclore, tu es un modèle.
Le pauvre poète humble que je suis dans tes bras devient une hirondelle.
Poème original de Jean Olmini
29 juillet 2020
Une âme égarée…..
Comme une âme perdue anéantissant les pourquoi
Je renifle ta présence comme un vent sur la mer
Tout au bout de ma philosophie je n'écoute que toi
Comme une rêverie aventureuse, je voudrais tout refaire
Par cette perle de mon existence, mes avances se sont tues
Un élément de gémissement ou s'immobilise le temps
Rêve doux je te vis, je te jure t'aimer tant.
Je te respire, si lointaine dans ce corps distordu
J'imagine tes lèvres, sans jamais les avoir mordus
Poème original de Jean Olmini
Le 16 janvier 2020
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